Une soirée mouvementée à la piscine
 
[f.e.e.]
 
 
Night of slow
Je reprends ma place, bien droite sur sa queue, mon bassin roule lentement, je fais toucher sa queue sur toutes les parois de mon vagin par mes mouvements. Je le vois se tordre sous mes balancements langoureux. Cela m’excite terriblement. Le maître-nageur était resté debout à côté de nous, il admirait la scène, les mains bien occupées à branler sa queue. Je regarde mon jeune adonis et lui ordonne d’un ton sec; « Encule-moi, salaud!!! ». Le jeune homme surpris par ma requête hésite. Je répète; « Quoi, tu es sourd? Je t’ai dit de m’enculer! » Tout en restant empalée sur le mateur, je me penche en avant afin de dégager mon anus. J’ai envie d’être prise en double, de me sentir complètement offerte et rempli. Le maître-nageur ne se fait pas répéter l’ordre une troisième fois. Il se place derrière moi, crache sur mon anus pour l’humidifier et y glisse un, puis deux doigts pour détendre mon petit trou. Cela a un effet immédiat sur moi, je me mets à hurler; « Vas-y baises moi!!! Mets ta grosse queue dans mon anus!!! Défonce-moi le cul!!! » Je lui ordonne cela, tout en continuant de me dandiner sur le sexe du pauvre malheureux qui se trouve sous moi. Sans plus attendre plus longtemps, le maître-nageur se place face à mes fesses et d’une pression de rein, il enfonce la totalité de sa bite d’un seul coup. « AAAAHHHHHHHH! Merdeeeeee!!!!! » Je lance un cri, mélangeant douleur et plaisir.

De ses mains, il m’empêche de bouger pour laisser le temps à mon anus de s’adapter au diamètre de sa verge. Après quelques secondes, il relâche la pression et moi, petite salope que je suis, j’entame un va-et-vient effréné sur ces deux pylônes de chairs qui me comblent pleinement les entrailles. Plus j’agite mon bassin, plus je sens grossir les deux piliers qui emplissent chaque parcelle de mes deux orifices. En même temps, je sens monter du bas de mon ventre une bouffée de chaleur qui lentement irradie dans tout mon corps. Je pousse des gémissements de plus en plus aigus, je suis accompagnée des grognements de plaisirs de mes deux partenaires. J’accélère le rythme qui est pourtant déjà bien soutenu, je me déhanche comme une vraie

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diablesse, cherchant cet orgasme qui va enfin apaiser mes frustrations. Les mains du jeune maître nageur viennent frapper mes fesses rondes. Je sens la verge de mon mateur frémir, sursauter sur les parois de mon vagin. Je peux facilement ressentir les deux verges glissées l’une sur l’autre très profondément dans mes entrailles. Elles pressent chacune la fine parcelle de peau qui les sépare. La sensation en est envoûtante, me voilà pénétrée par deux queues, complètement ouverte et offerte pour assouvir mes caprices. Le jeune maître nageur penche la tête vers ma nuque et commence à me mordiller la peau. L’Effet est immédiat, des frissons apparaissent sur mes épaules, mon dos et mes fesses se mettent à vibrer. Je lâche les bras du mateur, mes mains viennent se perdre dans les cheveux du jeune maître nageur qui continue de me mordiller. « Ah, tu vas me faire jouir! » Lui dis-je. Les deux verges dansent dans mon ventre, je les sens gonflés, elles s’affolent, elles battent un rythme. Toutes les parois de mon vagin sont à vif, toutes les sensations sont extrêmement sensibles.

Dans mes oreilles, ce n’est que râlements, gémissements et grognements. Soudain, comme frappée par la foudre, je sens exploser ma jouissance. « AAAHAHHAHAHAHAAAHHHHH!!!!! » Oh mon Dieu que c'est bon! Je ne sais pas d’où elle arrive, car j’ai l’impression que tout mon corps jouit en même temps. Mes jambes tremblent, mon corps tremble, je suis sous l’effet d’un électrochoc puissant. Je suis tellement sous le choc de cet orgasme que je ne me rends pas compte que j’éjacule sur le ventre du mateur un flot impressionnant de liquide clair. Presque en même temps les deux hommes se raidissent et jouissent dans un grognement bestial chacun à l’intérieur de leurs orifices, sous la vision presque irréelle de mon orgasme. Repus et rassasiés, nous nous écroulons tous les trois.

Night of slow
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