Je
reprends ma place, bien droite
sur sa queue, mon bassin roule
lentement, je fais toucher
sa queue sur toutes les parois
de mon vagin par mes mouvements.
Je le vois se tordre sous
mes balancements langoureux.
Cela m’excite terriblement.
Le maître-nageur était
resté debout à
côté de nous,
il admirait la scène,
les mains bien occupées
à branler sa queue.
Je regarde mon jeune adonis
et lui ordonne d’un
ton sec; « Encule-moi,
salaud!!! ». Le jeune
homme surpris par ma requête
hésite. Je répète;
« Quoi, tu es sourd?
Je t’ai dit de m’enculer!
» Tout en restant empalée
sur le mateur, je me penche
en avant afin de dégager
mon anus. J’ai envie
d’être prise en
double, de me sentir complètement
offerte et rempli. Le maître-nageur
ne se fait pas répéter
l’ordre une troisième
fois. Il se place derrière
moi, crache sur mon anus pour
l’humidifier et y glisse
un, puis deux doigts pour
détendre mon petit
trou. Cela a un effet immédiat
sur moi, je me mets à
hurler; « Vas-y baises
moi!!! Mets ta grosse queue
dans mon anus!!! Défonce-moi
le cul!!! » Je lui ordonne
cela, tout en continuant de
me dandiner sur le sexe du
pauvre malheureux qui se trouve
sous moi. Sans plus attendre
plus longtemps, le maître-nageur
se place face à mes
fesses et d’une pression
de rein, il enfonce la totalité
de sa bite d’un seul
coup. « AAAAHHHHHHHH!
Merdeeeeee!!!!! » Je
lance un cri, mélangeant
douleur et plaisir.

De
ses mains, il m’empêche
de bouger pour laisser le
temps à mon anus
de s’adapter au diamètre
de sa verge. Après
quelques secondes, il relâche
la pression et moi, petite
salope que je suis, j’entame
un va-et-vient effréné
sur ces deux pylônes
de chairs qui me comblent
pleinement les entrailles.
Plus j’agite mon bassin,
plus je sens grossir les
deux piliers qui emplissent
chaque parcelle de mes deux
orifices. En même
temps, je sens monter du
bas de mon ventre une bouffée
de chaleur qui lentement
irradie dans tout mon corps.
Je pousse des gémissements
de plus en plus aigus, je
suis accompagnée
des grognements de plaisirs
de mes deux partenaires.
J’accélère
le rythme qui est pourtant
déjà bien
soutenu, je me déhanche
comme une vraie
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diablesse,
cherchant cet orgasme qui va enfin
apaiser mes frustrations. Les mains
du jeune maître nageur viennent
frapper mes fesses rondes. Je sens
la verge de mon mateur frémir,
sursauter sur les parois de mon vagin.
Je peux facilement ressentir les deux
verges glissées l’une
sur l’autre très profondément
dans mes entrailles. Elles pressent
chacune la fine parcelle de peau qui
les sépare. La sensation en
est envoûtante, me voilà
pénétrée par
deux queues, complètement ouverte
et offerte pour assouvir mes caprices.
Le jeune maître nageur penche
la tête vers ma nuque et commence
à me mordiller la peau. L’Effet
est immédiat, des frissons
apparaissent sur mes épaules,
mon dos et mes fesses se mettent à
vibrer. Je lâche les bras du
mateur, mes mains viennent se perdre
dans les cheveux du jeune maître
nageur qui continue de me mordiller.
« Ah, tu vas me faire jouir!
» Lui dis-je. Les deux verges
dansent dans mon ventre, je les sens
gonflés, elles s’affolent,
elles battent un rythme. Toutes les
parois de mon vagin sont à
vif, toutes les sensations sont extrêmement
sensibles.

Dans
mes oreilles, ce n’est que
râlements, gémissements
et grognements. Soudain, comme frappée
par la foudre, je sens exploser
ma jouissance. « AAAHAHHAHAHAHAAAHHHHH!!!!!
» Oh mon Dieu que c'est bon!
Je ne sais pas d’où
elle arrive, car j’ai l’impression
que tout mon corps jouit en même
temps. Mes jambes tremblent, mon
corps tremble, je suis sous l’effet
d’un électrochoc puissant.
Je suis tellement sous le choc de
cet orgasme que je ne me rends pas
compte que j’éjacule
sur le ventre du mateur un flot
impressionnant de liquide clair.
Presque en même temps les
deux hommes se raidissent et jouissent
dans un grognement bestial chacun
à l’intérieur
de leurs orifices, sous la vision
presque irréelle de mon orgasme.
Repus et rassasiés, nous
nous écroulons tous les trois.

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