L’homme,
pris d’une terrible
excitation devant mon cul
ainsi offert à lui
devient fou de désirs.
Il me pilonne littéralement
la chatte. Des mots sortent
de sa bouche, il crie; «
Ah, je savais petite pute
que c’est ça
que tu voulais! Salope, je
te baise! » Il crie
de plus belle;« Encore…?
Tu en veux encore hein? »
« Plus fort hein…?
C’est ça! Allez,
crie, salope! »

Je
comprends vite son jeu et
me mets à lui répondre;
« Baise-moi fort!
» « Quoi c’est
tout ce que tu sais faire!
Plus fort! Allez plus fort!
» Ce petit jeu me
rend complètement
déchaînée,
je me fais baiser profondément
par ce mateur, qui continue
de me traiter de salope,
de pute, etc. Il me défonce
comme un vrai démon,
comme s'il n’avait
pas baisé depuis
des siècles et j’adore
cela. Pendant que cet endiablé
me déchire les entrailles,
mon regard est attiré
par le maître-nageur
dont le sexe reprend doucement
de la vigueur. Le jeune
homme se branle tout en
admirant le spectacle offert
par cette furie. La vision
du maître-nageur en
train de se masturber m’excite
encore plus. Je regarde
sa verge ferme et bien bandée,
m’imagine suçant
ce sexe qui m’avait
si bien baisée. Pendant
que je pars dans mes fantasmes,
mon fou furieux continue
de me pilonner si vigoureusement
qu’il m’arrache
des gémissements
à ne plus finir.
Mon vagin est en feu, je
sens mes chairs s’échauffer
sous la rapidité
des coups. Mes lèvres
sont gonflées, je
ne lès sens presque
plus, comme engourdis. Mon
ventre brûle, mes
entrailles surchauffent,
des chocs électriques
explosent sur toutes les
parois de mon vagin.
Mon
tortionnaire regarde mon
cul se déchaîner
sur sa queue, mes fesses
tremblent, mon bassin sursaute,
je jouis d’un long
gémissement aigu.
« AHHHHHHH! AAAAAHHHHHH!!!!!!!
» Mes jambes ne me
retiennent plus, je flanche
et m’écroule
au sol entraînant
par là même
occasion mon partenaire.
Devant le spectacle de mon
corps en crise,
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devant
la soudaineté de ma jouissance,
le mateur est pris d’un violent
orgasme et il décharge tout
son sperme sur mon dos. Je reste,
quelques instants, allongée
par terre sur le carrelage froid,
toute étourdie que je suis
par cet orgasme incroyable. Petit
à petit, je reprends doucement
conscience, j’ouvre les yeux
et relève la tête. Quelle
n’est pas ma surprise de me
retrouver nez à nez avec le
sexe de mes deux acolytes, qui se
sont agenouillés pour voir
comment j’allais. Cela a l’effet
d’un électrochoc, je
reçois une nouvelle décharge
d’adrénaline qui me chauffe
le bas-ventre. Mais qu’est-ce
qui m’arrive, je ne me reconnais
plus? Mon corps en redemande encore,
je sens cette envie de jouir qui est
toujours présente. Je sens
cette envie de jouir qui ne s’arrête
pas qui ne s’estompe pas.

Je
saisis d’une main le sexe
du mateur tout en gobant de ma bouche
le sexe du jeune maître-nageur.
Très vite leurs sexes renaissent
sous mes caresses. Je goûte
à leurs spermes, c’est
un véritable aphrodisiaque
pour moi. J’alterne fellation
et masturbation pour chacun des
deux hommes, mais cela ne me suffit
pas. Je prends les choses en mains,
je me redresse, j’allonge
sur le dos le mateur qui est devenu
docile. Je m’empale vigoureusement
sur sa queue redevenue à
nouveau immense. Je fais jouer mon
bassin sur son ventre, complètement
empalé, ce qui rend fou mon
partenaire de jeu. Il râle
de plaisir les yeux mi-clos, j’adore
ce que je vois. Je lui pince les
tétons, je me penche vers
son visage, lui prend d’une
main le menton et lui dit d’un
ton audacieux; « Alors petit
pervers! C’est qui qui te
baise là! Vas y réponds-moi!
» Il ne dit rien. Je lui prends
les poignets dans chacune de mes
mains pour lès lui placer
au-dessus de la tête, je lui
mords l’oreille, puis lui
susurre lentement; « Tu vois
salopard, c’est moi qui te
baise! C’est moi qui te baise!
Quoi tu n’aimes pas? »
« Tu veux reprendre ton petit
rôle de dominant, hein? C’est
ça? Va falloir me dire s'il-te
plaît… Petit! »
...»
Suite
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