Je
ne suis pas au bout de mes
surprises. Pendant ce temps…
Un client de la piscine avait
été alerté
par les cris de plaisir qui
s’étaient répandus
dans tout le bâtiment,
cet homme curieux et attiré
par les gémissements
s’était approché
du vestiaire des femmes. À
la vue du couple qui s’en
donnait à cœur
joie, il était resté
caché à observer
toute la scène. Il
avait trouvé un petit
coin sombre proche de la porte,
il matait les batifolages
des deux amants. Le spectacle
l’avait terriblement
excité, voir cette
femme se faire prendre de
la sorte, l’entendre
gémir, jouir, la voir
se tordre sous le plaisir,
cela en avait été
trop pour lui, qui avait sorti
sa queue hors de son pantalon.

D'ailleurs,
son pantalon jonchait sur
le sol, il était
devenu très dur devant
cette "salope"
qui se faisait baiser. C’était
comme cela qu’il la
traitait dans sa tête
pendant qu’il se branlait
à grande vitesse
callant les gestes de sa
main sur le va-et-vient
du maître-nageur.
« Aller petite salope,
tu aimes ça te faire
baiser! Oh oui petite pute,
tu veux que ma queue te
laboure! » Il marmonnait
les phrases tout en regardant
le jeune maître nageur
terminer son job. Il en
est tellement excité,
qu’il jouit en même
temps que le couple, tout
en poussant un puissant
grognement. Le son de sa
jouissance se répand
dans la pièce. Tétanisé,
il reste figer la main fermée
sur sa verge bandée,
du sperme coulant le long
de ses doigts. Le son est
venu à nos oreilles.
Surpris, nous nous retournons
vers le bruit, mon visage
s’empourpre en voyant
l’homme à demi
caché. Il me regarde
ses yeux sont perçants,
pervers, il mate mon corps
sans aucune gêne.
Mon regard passe de la surprise
à l’envie,
la situation devient vraiment
très intéressante...
Je fixe le sexe du mateur,
la taille de sa verge est
assez impressionnante. Il
vient de jouir, je vois
la flaque de sperme s’étendre
sur le sol, mais malgré
sa jouissance, sa queue
pointe toujours bien droite.
Pourquoi ne pas en profiter?
Comme
hypnotisée, je me
lève, m’approche
de notre voyeur surpris
et de sa bite. Je tends
la main pour la toucher
afin de m’assurer
que cela n’est pas
un rêve. Wow! Je la
touche, je la caresse, je
lui soupèse les couilles
comme si j’avais fait
cela toute ma vie. Je suis
subjuguée par la
largeur, mais aussi par
la longueur de l’engin.
L’homme debout devant
moi me laisse apprivoiser
la masse de chair qui se
dresse devant mes yeux ébahis.
Il est grand, beaucoup plus
grand que moi, il
|
 |
|
|
|
m’impressionne. Sans comprendre
pourquoi, alors que je viens de me
donner à un inconnu, j’ai
envie de cette nouvelle queue. Je
me sens chienne, j’ai envie
de goûter à cette immense
queue qui s’offre à moi.
Je me penche, me mets à genoux,
la prends dans mes mains qui paraissent
comme des mains d’enfants d’un
seul coup. Ma bouche se pose sur le
gland dodu, j’en lèche
d’abord à petites lapées
le contour, puis une fois bien humectée,
j’entoure mes lèvres
complètement sur celui-ci.
Quelques effets de succions viennent
accompagner les va et viens de mes
mains qui branlent doucement son énorme
pieu. Le goût de son sperme
vint de tomber sur mes lèvres,
sur ma langue, dans ma bouche. Moi
qui ai le dédain d'avoir du
sperme dans ma bouche, mais pas aujourd’hui.
Je presse sa longue veine sous sa
verge et y fait couler tout le restant
de son éjacula. Je m’en
lèche les babines, le goût
est délicieux et sucré.
Je me demande ce qu’il a mangé
aujourd’hui. Je le suce, le
suce comme voulant encore plus de
son jus.

Voulant
goûter encore mieux cette
verge dure sur ma langue, ma bouche
grande ouverte l’engloutit
jusqu’au fond de ma gorge.
Un râlement de plaisir accompagna
mon geste, le mateur râlait
de plus belle à chacune de
mes succions. Le fond de ma gorge
déglutissait, des larmes
coulaient sur le coin de mes yeux
tellement je forçais la pénétration.
Je cherchais mon souffle, de la
bave coulait sur son pubis puis
tombait à terre. Il grogna
de contentement et son immense queue
grossit d’excitation qu’elle
en remplissait totalement ma gorge.
À bout de souffle, les yeux
exorbités, je dus malgré
moi la retirer de ma gorge. De toute
façon, tout ce petit jeu
m’avait donné envie
de plus, de beaucoup plus. J’avais
envie de sentir cette grosse queue
bien dure au fond de mon ventre.
Je me relève, me retourne
dos à lui, me penche par
en-avant lui offrant ma croupe généreuse
et complètement dégoulinante
de jus. Il ne prend pas beaucoup
de temps à comprendre mes
exigences. Il positionne sa large
queue à l’entrée
de mon vagin qui frétille
déjà d’impatience,
il accroche fermement ses mains
sur mes hanches, ses doigts rentrant
dans mes chairs. D’un coup
de rein puissant, il rentre la quasi-totalité
de son sexe et va buter tout au
fond de mon vagin. « AHHHHHH!
» Je pousse un cri où
se mêlent contentement et
surprise.
...»
Suite
|
 |
|