Une soirée mouvementée à la piscine
 
[f.e.e.]
 
 
Je ne suis pas au bout de mes surprises. Pendant ce temps… Un client de la piscine avait été alerté par les cris de plaisir qui s’étaient répandus dans tout le bâtiment, cet homme curieux et attiré par les gémissements s’était approché du vestiaire des femmes. À la vue du couple qui s’en donnait à cœur joie, il était resté caché à observer toute la scène. Il avait trouvé un petit coin sombre proche de la porte, il matait les batifolages des deux amants. Le spectacle l’avait terriblement excité, voir cette femme se faire prendre de la sorte, l’entendre gémir, jouir, la voir se tordre sous le plaisir, cela en avait été trop pour lui, qui avait sorti sa queue hors de son pantalon.

D'ailleurs, son pantalon jonchait sur le sol, il était devenu très dur devant cette "salope" qui se faisait baiser. C’était comme cela qu’il la traitait dans sa tête pendant qu’il se branlait à grande vitesse callant les gestes de sa main sur le va-et-vient du maître-nageur. « Aller petite salope, tu aimes ça te faire baiser! Oh oui petite pute, tu veux que ma queue te laboure! » Il marmonnait les phrases tout en regardant le jeune maître nageur terminer son job. Il en est tellement excité, qu’il jouit en même temps que le couple, tout en poussant un puissant grognement. Le son de sa jouissance se répand dans la pièce. Tétanisé, il reste figer la main fermée sur sa verge bandée, du sperme coulant le long de ses doigts. Le son est venu à nos oreilles. Surpris, nous nous retournons vers le bruit, mon visage s’empourpre en voyant l’homme à demi caché. Il me regarde ses yeux sont perçants, pervers, il mate mon corps sans aucune gêne. Mon regard passe de la surprise à l’envie, la situation devient vraiment très intéressante... Je fixe le sexe du mateur, la taille de sa verge est assez impressionnante. Il vient de jouir, je vois la flaque de sperme s’étendre sur le sol, mais malgré sa jouissance, sa queue pointe toujours bien droite. Pourquoi ne pas en profiter?

Comme hypnotisée, je me lève, m’approche de notre voyeur surpris et de sa bite. Je tends la main pour la toucher afin de m’assurer que cela n’est pas un rêve. Wow! Je la touche, je la caresse, je lui soupèse les couilles comme si j’avais fait cela toute ma vie. Je suis subjuguée par la largeur, mais aussi par la longueur de l’engin. L’homme debout devant moi me laisse apprivoiser la masse de chair qui se dresse devant mes yeux ébahis. Il est grand, beaucoup plus grand que moi, il

m’impressionne. Sans comprendre pourquoi, alors que je viens de me donner à un inconnu, j’ai envie de cette nouvelle queue. Je me sens chienne, j’ai envie de goûter à cette immense queue qui s’offre à moi. Je me penche, me mets à genoux, la prends dans mes mains qui paraissent comme des mains d’enfants d’un seul coup. Ma bouche se pose sur le gland dodu, j’en lèche d’abord à petites lapées le contour, puis une fois bien humectée, j’entoure mes lèvres complètement sur celui-ci. Quelques effets de succions viennent accompagner les va et viens de mes mains qui branlent doucement son énorme pieu. Le goût de son sperme vint de tomber sur mes lèvres, sur ma langue, dans ma bouche. Moi qui ai le dédain d'avoir du sperme dans ma bouche, mais pas aujourd’hui. Je presse sa longue veine sous sa verge et y fait couler tout le restant de son éjacula. Je m’en lèche les babines, le goût est délicieux et sucré. Je me demande ce qu’il a mangé aujourd’hui. Je le suce, le suce comme voulant encore plus de son jus.

Voulant goûter encore mieux cette verge dure sur ma langue, ma bouche grande ouverte l’engloutit jusqu’au fond de ma gorge. Un râlement de plaisir accompagna mon geste, le mateur râlait de plus belle à chacune de mes succions. Le fond de ma gorge déglutissait, des larmes coulaient sur le coin de mes yeux tellement je forçais la pénétration. Je cherchais mon souffle, de la bave coulait sur son pubis puis tombait à terre. Il grogna de contentement et son immense queue grossit d’excitation qu’elle en remplissait totalement ma gorge. À bout de souffle, les yeux exorbités, je dus malgré moi la retirer de ma gorge. De toute façon, tout ce petit jeu m’avait donné envie de plus, de beaucoup plus. J’avais envie de sentir cette grosse queue bien dure au fond de mon ventre. Je me relève, me retourne dos à lui, me penche par en-avant lui offrant ma croupe généreuse et complètement dégoulinante de jus. Il ne prend pas beaucoup de temps à comprendre mes exigences. Il positionne sa large queue à l’entrée de mon vagin qui frétille déjà d’impatience, il accroche fermement ses mains sur mes hanches, ses doigts rentrant dans mes chairs. D’un coup de rein puissant, il rentre la quasi-totalité de son sexe et va buter tout au fond de mon vagin. « AHHHHHH! » Je pousse un cri où se mêlent contentement et surprise.

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