Une soirée mouvementée à la piscine
 
[f.e.e.]
 
 
Night of slow
Titre : Une soirée mouvementée à la piscine

La nuit est tombée sur la ville en cette soirée d’hiver. Au fond d’une rue, un bâtiment reste allumé, c’est la piscine municipale de mon quartier. L’heure de la fermeture de celle-ci approche, le maître-nageur fait le tour pour inviter les derniers baigneurs à se rendre vers les vestiaires. En fait dans la piscine, il ne reste plus que deux personnes, un homme et moi. Nous quittons le bassin pour nous diriger vers nos vestiaires respectifs. Frileuse, je cherche mon savon et mon shampooing dans mon gros sac sport, puis je m’oriente vers les douches. Timide, j’ai gardé mon maillot, je constate que je suis seule alors doucement, je me déshabille, ouvre les robinets de la douche et commence à me laver le corps et les cheveux. J’ai du savon partout, la mousse onctueuse commence à me dégouliner dans les yeux. Ça me pique, je passe mon visage sous l’eau chaude, je me rince comme il le faut. Je me dirige nue vers mon vestiaire, mon maillot et mes produits de beauté dans les mains.

Badaboum! Je dérape sur le sol glissant sur un petit morceau de savon qui était resté collé sur le sol. Je tombe lourdement par terre dans un vacarme. Aie! Mes fesses ont bien claqué sur le carrelage froid des douches. Je me tiens les hanches, toutes mes affaires jonchent sur le sol, éparpillé autour de moi. J’ai du mal à me relever, je reste assise là, encore un peu étourdie. Pendant ce temps de l’autre côté du vestiaire… Le maître-nageur qui était en train de ranger les accessoires pour la piscine accourt dans les douches des femmes pour voir ce qui s’y passe. À son arrivée, il m’aperçoit sur le carrelage, un peu étourdi par ma chute. Il s’approche de moi pour m’aider à me relever. À la vue du maître nageur qui rentre dans le vestiaire à mon secours, j’ai le réflexe de cacher ma nudité, mais ma hanche me fait mal. J’ai un petit pincement qui m’empêche de trop bouger. Il s’approche de moi, me demande si je vais bien, passe ses grandes mains autour de mon torse et m’aide à me relever.

J’ai de la difficulté à me lever, mes jambes tremblent et ont du mal à me soutenir. Malgré moi, je tombe littéralement dans les bras musclés du maître-nageur. Il me retient fermement contre lui et tranquillement

il me laisse reprendre mes esprits. Il est rassurant avec moi et très avenant. Après une à deux minutes bien blotties contre son torse, je reprends petit à petite conscience de la situation et surtout de ma nudité. Je suis là, flambant nue dans les bras d’un jeune et plutôt bel homme. Lui, ayant passé le stade de la première frayeur, commence à me regarder de plus près. Il détaille du regard mon corps qu’il tient dans ses bras. Il admire ma chute de reins qui aboutit sur mes fesses rondes. Il sent ma poitrine contre la sienne, mes seins sont petits, mais bien ronds, les pointes de mes mamelons se cachent bien au chaud contre sa peau. Je crois que l’évaluation de mon corps ne le laisse pas insensible, car je sens au travers de son maillot de bain son sexe qui commence à grossir malgré lui. Une bosse gonfle tout contre mes cuisses. Il se rend compte de son érection et pour essayer de détourner mon attention, il me demande; « Est-ce que ça va? Vous vous sentez bien? Voulez-vous que j’appelle un médecin? »

Tout doucement, je lève les yeux et sors peu à peu de ma léthargie, de ce doux confort qui commence à prendre le dessus sur la situation cocasse. Je suis nue dans les bras d’un inconnu et pourtant je m’y sens bien. J’entends sa voix me répéter si je vais bien, mais je n’arrive pas à lui répondre, je suis perdue dans ses yeux, des yeux d’un bleu profond. Mon corps commence à grelotter, je tremble de partout. Lui, me voyant ainsi grelotter, prend la serviette de bain qui était accrochée et commence à me frictionner avec tout en continuant à me parler. Il commence par essuyer mes épaules, puis il va en descendant vers mon dos, mes reins, mes fesses où un énorme bleu commence à apparaître. Moi, je me laisse faire, tout étourdie par l’évènement, mais aussi par le plaisir qu’offre ce contact intime avec ce bel inconnu. Cette séance de séchage met le jeune homme dans tous ses états. Caresser ce corps pulpeux, mais ferme même à travers une serviette de bain lui fait de l’effet et son maillot en lycra devient de plus en plus étroit. Ayant terminé d’essuyer mon dos, il s’apprête à vouloir sécher mon torse, mais pour cela il doit me faire asseoir sur le banc qui se trouve près de l’entrée. Il me soulève sans difficulté, me porte presque dans ses bras. Je me laisse guider sans dire un mot. Une fois assise, il s’applique à essuyer le reste de mon corps en prenant à présent un soin particulier pour ma petite poitrine. Le contact de la serviette sur mes seins me fait réagir. J’aime le voir s’appliquer ainsi à prendre soin de moi.

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