Le
goût
de
tes
lèvres
était
sur
les
miennes
à
mon
réveil |
Les
yeux
encore
fermer,
je
passais
ma
langue
doucement
sur
le
contour
de
ma
bouche
|
J'imaginais
ta
peau
frôler
ma
peau
encore
chaude
de
désir
pour
toi...
|
Te
vouloir,
t'entrelacer
à
mon
corps
nu,
voilà
ce
que
je
réclamais
dans
l'instant
|
Sentir
tes
mains
plaquer
mes
mains,
féroces
dans
la
méthode,
mais
doux
dans
le
regard
|
M'envahir
doucement
du
nectar
mielleux
de
tes
baisers
|
Saoule
de
passion,
je
buvais
l'élixir
de
la
jouissance
future
à
ta
bouche
|
Ivre,
des
souvenirs
passés,
j'imaginais
ma
peau
fusionnée
sur
ta
peau
d'ébène... |
Des
frissons
parcoururent
mon
corps
menant
l'envie
jusqu'au
profondeur
de
ma
chatte... |
J’avais,
j'ai
le
manque
de
toi
qui
me
torture,
comme
un
vide
qu'on
ne
comble
que
par
le
vice |
Une
drogue
qui
amène
l'accoutumance
qui
vous
pousse
à
la
démence....
|
J'ai
tenté
de
combler
cette
douce
douleur
|
Une
drogue
qui
amène
l'accoutumance
qui
vous
pousse
à
la
démence....
|
J'ai
tenté
de
combler
cette
douce
douleur
|
Mais
rien
ne
pouvait
remplacer
ce
matin
le
besoin
viscéral
de
mes
entrailles |