S'évader vers toi

Assise seule dans ce grand restaurant à la mode, je laissais mes pensées s'évader vers toi! Le souvenir de notre fin de semaine flottait comme un nuage devant mes yeux. Un léger sentiment de nostalgie vient remplir mon cœur. Encore quelques semaines à attendre, quelques jours à combattre le manque. L'idée de te voir apparaître me traversa l'esprit et je me dis qu'il serait agréable qu'à mon retour ce soir tu sois là. La, à m'attendre chez moi... Je me vois franchir ma porte d'entrée vêtue de mon tailleur blanc ma chemise rose pale légèrement entrouverte laissant dévoilée la légère dentelle de mon soutien-gorge.

Ma jupe fendue sur le côté gauche laisserait apercevoir la naissance de mes bas couleurs chair. Une main posée sur la poignée, l'autre tenant mon sac, je pousserais la porte et la je t'apercevrais fière et droit, un léger sourire fessant étinceler ton regard de chenapan. Agréablement surprise, je m'approcherais de toi et d'un long baiser langoureux te montrerait toute l'envie que j'ai de toi. Ta main passerait dans mes cheveux pour les libérer de leurs attaches. Elle descendrait la courbe de mon visage et entourai mon cou. D'une légère pression de tes doigts, tu serrerais celui-ci preuve de ton émoi, de ton désir pour moi...

Oh chéri! Mes idées divaguent et tout se chamboule, le temps c'est arrêté, mon souffle c'est accélérer, j'entends les battements de mon cœur battre dans mes tempes. Toujours assise dans ce grand restaurant les yeux perdus, la tête dans l'imaginaire de mes fantasmes, il me vient le besoin sauvage de jouir. Je peux sentir tes mains sur mon corps qui lentement me déshabille, ta bouche qui caresse ma peau sous la délicate soie de ma chemise qui la fasse frémir. Que tu viennes glisser furtivement et relever ma jupe afin de découvrir de tes doigts la moiteur de mon entre cuisses. Caresser le satin de mes bas...

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[f.e.e.]

Puis soudain d'un seul bras, tu me soulèves et me portes sans effort sur le divan qui nous fait face. À genoux, les fesses offertes à toi, je suis complètement à ta merci. Tu t'amuses à soulever le peu de vêtements qu'il me reste, rien ne sera retiré tel est ton plaisir.

Chéri pitié! Ne me laisse pas gémir seule ce soir, ne me laisse pas jouer en mode solitaire. Permets-moi de goûter à ta peau, de me délecter de tes lèvres dociles, dont mes chairs humides enveloppent ta queue bien bandée. Laisse-moi espérer que tu me prennes à grand coup de reins et que tu me laboures jusqu’à la lueur du petit matin... Viens te coucher à la chaleur de mon ventre, laisse mes ongles pénétrer ta chair de plaisir. Les lèvres de ma chatte n'attendent que les tendres baisers de ta bouche... Viens jouir avec moi!

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