Elle
ouvre
les
yeux,
se
réveille
langoureusement
Son
regard
se
tourne
vers
l'homme,
amoureusement
Sur
le
ventre,
il
dort
sa
respiration
est
lente
Ses
épaules
nues,
offertes,
musclées,
troublantes
Elle
soulève
le
drap
et
découvre
sa
chute
de
rein
Sa
peau
à
une
apparence
satinée,
attirant
sa
main
Elle
ne
résiste
pas,
et
le
drap
choit
sur
le
sol
Deux
fesses
ouateuses
se
découvrent,
ça
l'affole
Sa
main
ne
peut
résister
à
ces
formes
attirantes
Ces
formes
offertes
à
son
regard
et
si
tentantes
Et
tel
un
papillon,
sa
main
se
pose
délicatement
Elle
se
pose
sur
ces
globes
de
chairs
lentement
Elle
le
sent
frémir,
elle
adore
cette
sensation
Cette
zone
si
sensible
chez
lui,
est
une
passion
Et
elle
ne
s'en
lasse
jamais
de
le
faire
frémir
En
le
caressant,
de
lui
donner
un
tel
plaisir
Des
épaules
à
cette
zone,
si
érogène.
Aphrodite
sait
qu'il
ne
dort
plus,
mais
paresse
Et
elle
imagine
sa
colonne
de
chairs
se
dressant
Il
gémit,
s'offre
à
sa
main
soumis
et
obéissant
Elle
devine
la
colonne
dressée,
ressent
l'envie
Son
antre
brûlant
et
humide
déjà
appelle
sa
vie
Son
ventre
à
elle
est
en
effusion
et
le
réclame
Elle
le
retourne
et
est
envahie
par
une
flamme
Et,
elle
enfourche
cette
colonne
de
chair
dressée
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