Lorsque
je
te
regarde,
que
tes
yeux
disent;
vient!
Que
ma
longueur
s’attarde
lentement
en
tes
mains,
te
laissant
en
souffrance
de
cueillir
ces
instants.
Où,
je
me
ferai
danse
de
tous
tes
agréments
Paré
de
mes
dentelles,
j’inviterai
mes
reins,
à
glisser
contre
l’aine
où
tu
brûleras
soudain.
N’ayant
pour
seul
chemin
que
ton
corps
attisé.
Et
déclenchant
soudain
mon
désir
effronté.
Avivant
ton
ivresse,
tes
tempes
seront
sang.
Mes
mains
folles
déesses,
ton
ventre
palpitant.
Là,
mordillant
ta
peau
un
moment
gourgandine.
Tu
frémiras
d’émoi
à
cette
emprise
divine.
Je
mènerai
ainsi
au
gré
de
mes
caprices.
Cette
danse
d’éros
où
tu
voudras
encore.
Qu’à
l’aube
de
l’ultime,
ma
bouche
ne
faiblisse.
T’amenant
au
délice
du
plus
fou
des
transports.
Me
laissant
seule
maîtresse,
te
menant
à
mes
jeux.
Tu
seras
mon
errance,
mon
essence,
mon
aveu.
Affamés
de
prouesses,
mes
sens
seront
feux.
Étourdie
d’un
art
d’être,
plaisirs
voluptueux...

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