Les portes du Paradis

J'ai gémi de plaisir à la source d'aucune pudeur
J'ai crié mon désir au grès de son plaisir
J'ai supplié, mains serrer, genoux repliés

J'ai geins la douce souffrance de l'orgasme dans le souffle saccadé que ma bouche ouverte laisse s'échapper...

J'ai offert à mon corps la force des soubresauts, des vagues et des multiples explosions que ta puissance masculine me fait découvrir.

Morte, je finis ma route à ta merci. Je suis ta demeure ou tu pénètres sans invitation, sans aucune pudeur.... Tu es maître et roi en ce lieu.

Tu es l'UNIQUE, la clef qui ouvre les portes de l'Élysée [Paradis Grec] ...

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[f.e.e.]
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