J'ai
rêvé
de
toi,
un
de
ses
rêves
humides
qui
me
rend
tout
vide,
Ta
bouche
parcourait
mon
corps,
et
moi,
je
te
répétais
encore...,
plus
bas,
plus
bas,
Toi
tu
ne
pensais
qu'à
ça,
pourtant
tu
t'amusais
a
prendre
ton
temps.
Me
faire
languir
sous
tes
caresses
et
tes
mots
fous.
Ta
langue
qui
pénètre
dans
l'antre
de
mes
délices,
mon
corps
se
cambre
et
j’écarte
les
cuisses,
puis
enfin
j'accueille
impatiente,
tu
daignes
pénétrer
mes
entrailles
brûlantes
de
ton
glaive
de
chairs.
Guerrier
de
l'amour,
tu
baises
ta
victoire,
le
cœur
rempli
de
ferveur.
Alors
dans
un
dernier
assaut
les
reins
meurtris
de
tes
va
et
viens,
je
sens
venir
la
jouissance
dans
tout
mon
être.
J'ai
fait
ce
rêve
humide,
qui
m'a
rendu
vide,
vide
de
ne
pas
t'avoir
près
de
moi...

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