Malgré tout ce qu'on me dit

Malgré tout ce qu'on me dit, je souris. J’ai ma propre philosophie. C’est ma vie, alors envieux oubli, devant tes stratagèmes je reste de glace. Reste loin de moi, sur mon chemin tu n’as pas ta place. Aux chiens comme toi qui aboient, je ferme les portes. À ceux qui sortent pour mordre de l’intérieur et qui visent l’aorte, ceux qui pensent avoir tous les droits, le véto, les anecdotes, je vous dis, vos chimères vous s’avez quoi en faire. Vos belles paroles, gardez-les pour des funéraires. Protection, j’enfile l’armure avant que le mal ne me ronge. Je reste le poing levé devant les rumeurs, les mensonges.

J’avance le cœur gonflé de tout l'amour qui est le mien. Vers mes rêves, je porte le flambeau de la victoire en mon sein. J’y crois, je crois au destin qui avance au gré de ses caprices. Parfois m’offre le plaisir lorsque je bois la coupe des délices. Je me moule à tous ses mystères qui remplissent mon quotidien. Les doutes, je refoule, j’ai la force dans mon cœur qui me tient. Je détiens la main qui laissera tout ce beau monde en émoi. Dans ce jeu de cartes, je gagne, je suis l'As qui bat le Roi.

J'avance d’un pas léger, le sourire aux lèvres, le regard aux aguets. La vie m’invite à la danse, je marque le tempo, car des paroles j’en ai tous les propos. Je marche droite, lève la tête, le torse bombé. Je ne regrette rien, non-rien de ma vie, de mon passé. Pardonne-moi ce semblant d’arrogance, la fillette se cache sous les apparences.

Compte sur moi, pour viser la Lune, atteindre le ciel ne me fait pas peur. Tu peux croire à ma prose, elle t’apprend mes valeurs. Dans les moments de fatigue, je suis l’épaule sur laquelle tu peux prendre une pause. Même à l'usure, je le jure, de mes mots, je panserais tes blessures, je lès couvrirai de roses. Je ne suis pas comme toutes ces femmes qui baissent la lame au premier combat, j’ose. Des sacrifices, s'il le faut j'en ferai, j'en ai déjà fait... La vie nous donne le choix du trésor. Sans cesse, redoublez d'efforts pour obtenir la médaille d’or. Malgré nos peines et nos différences, j'y crois, le poing levé, le cœur gonflé de tout l'amour que j'ai en moi.

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[f.e.e.]

J’ai trouvé le sens de ma vie qui m’entraîne. Il suffit de mettre à chaque pas un peu d’amour à la place de la haine. J’ai trouvé, j’ai compris le pourquoi, la raison de la vie que je mène et je l’aime. Parfois, ma vie sonne un peu faux, mais je me bats, car je l’ai dans la peau. J’écris ce poème, comme un adieu à ce que j’étais, j’embrasse le nouveau.

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