Et...
De
nuit
en
nuit,
jamais
il
n'a
cessé
d'alimenter
mon
esprit.
De
jour
en
jour,
jamais
son
odeur
n'a
quitté
le
parcours.
De
ses
doigts
conquérants
le
continent
brûlant
de
mon
corps
invitant.
Le
goût
salé
de
ses
baisers
a
laissé
l'empreinte
sur
mes
lèvres
damnées.
Nuit
après
nuit,
jour
après
jour,
de
désirs
pour
lui,
je
supplie
le
secours.
Point
de
répit
lorsque
vous
prend
cette
envie
de
succomber,
dans
son
lit
mourir
de
ses
fantaisies.
Ha!
Que
je
m'ennuie
du
plaisir
auquel
tu
me
conduis,
sans
fin
tu
assouvis
la
faim
de
mes
douces
nuits.
