Le
murmure
de
ma
peau
court
sous
le
souvenir
des
caresses
de
tes
mains.
Mon
corps
tout
entier
reste
dans
l’attente
de
leurs
retours.
Mon
âme
n’a
pas
oublié
nos
rires
et
notre
joie
délaissée
d’un
temps
passé.
Le
chemin
qu’aujourd’hui
tu
arpentes
en
ses
nouveaux
lieux
est
jonché
de
ronces
qui
labourent
mon
désir
et
mon
cœur.
Quant
à
ces
moments,
reculent
quand
nos
bouches
s’enivraient
de
baisers
qui,
aujourd’hui
laissent
place
à
ce
vide
que
nul
ne
pourras
combler.
Il
est
parfois
des
mirages
qui
ressemblent
à
ton
image,
reflet
furtif
qui
ne
se
laisse
pas
prendre.
Je
laisse
alors
mon
cœur
rêver
à
un
quelconque
espoir
qu’un
jour
à
nouveau
nos
corps
ne
feront
qu’un.

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