Il m’immobilisa
Accueil / La sexualité / Scènes érotiques / Il m’immobilisa
[f.e.e.]
 
 
Night of slow
Scène érotique : Il m’immobilisa

Je ramenai ce bel objet sexuel à la maison, cet étranger dont je désirais que sa queue devienne l’objet de ma délivrance. Je l’entraînai sans hésitation vers ma chambre et l’embrassai avec rage tellement mon envie d’une queue était pressante. Les vêtements furent retirés et balancés aux quatre coins de la chambre, tout en continuant de lui dévorer les lèvres. On s’installa à genoux tous deux dans mon lit, baisers et caresses s’échangeaient avec ferveur. Sa queue, oui sa queue… Je descendis ma main droite pour lui souhaiter la bienvenue. J’attrapai avec toute ma délicatesse sa poche que je caressai comme une petite bête que je ne voulais pas faire fuir. Je remontai le long de sa verge pendant que lui me mangeait le cou, l’oreille et faisait grimper mon désir…

Haaaaaaaaaaaa! La montée de ma main sur sa verge n’en finissait plus… La main grande ouverte, je caressais sa queue de haut en bas. Elle m’intriguait, mais ses caresses sur mon corps étaient divines et m’empêchaient d’être concentrée sur cette queue qui brûlait dans ma main, car je venais enfin de l’empoigner. Je râlai sous cette bouche qui ne lâchait pas le haut de mon corps et qui m’offrait frisson sur frisson. Je me rendis tout à coup compte que ma main avait peine à entourer sa queue. Je ramenai ma main libre rejoindre l’autre et pris cet objet sexuel… Non! Mon objet sexuel… Je le tenais à deux mains pour avoir une idée de sa longueur. Un long soupir se fraya un chemin hors de ma bouche indiquant ma satisfaction, car elle se dessinait énorme et longue entre mes mains. Il fallait que je me dégage pour l’admirer. Ce fut plus fort que moi, je le repoussai violemment vers l’arrière, lui plaça ma main gauche sur son torse et lui dit d’une voix ordonnante; "Attends! Faut que je la vois…" Et sorti spontanément de ma bouche; "Wow, wow!!! Elle est énorme!!!" Mon objet sexuel, je l’avais très très bien choisi.

Je m’avance vers lui et comme à l’habitude, je voulus allonger l’homme sur mon matelas pour pouvoir m’occuper de lui, mais au même moment, je sentis une résistance. Je l’ai regardé, ses yeux venaient de froncer et je pouvais y lire; "Qu’est ce que tu penses faire?" Il se mit à vouloir m’allonger à son tour, mais pour moi, pas question. C’était ma soirée, je l’avais choisie, j’en ferais ce que je veux, se sera tel mon bon vouloir. Un combat de force s’en suivit, c’était qui allait prendre le dessus et allonger l’autre. Moi, je suis une dominante et c’est moi qui en ferai ce que j’en veux de sa queue. Je la veux dans ma bouche, je veux la chevaucher comme une déchaînée, je veux la faire cracher en moi comme je sais si bien le faire et si souvent. Le combat de force continua pendant une bonne vingtaine de secondes. Et là, je sentis de tout son être qu’il venait de trancher. Je me sentis soulever dans les airs et en même temps revirer. Merde??? Je suis rendue à quatre pattes et lui derrière moi, le visage déjà dans ma chatte. Voulant me déprendre de cette situation embarrassante, je tentais de bouger. Non, il venait de me faire une prise dont je ne pouvais me déprendre.

Il avait passé ses deux bras entre mes jambes pour ainsi remonter ses mains qui empoignèrent mes fesses et les emprisonnèrent comme dans un étau. Je lui dis; "Je n’arrive plus à bouger!" Au même moment, je sentis son visage, sa bouche s’enfoncer dans ma chatte. C’est ainsi qu’il commença à me manger la vulve. Moi qui n’avais pas l’habitude de ce genre de traitement, je me disais qu'il n'y avait qu’une seule chose que je pouvais faire, c’est-à-dire me laisser prendre ainsi et en profiter. ... » Suite

Night of slow
all rights reserved © Kiose