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[f.e.e.] |
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C'était
un
de
ces
jours
où
mon
copain
et
moi
nous
adonnions
à
nos
jeux
préférés.
Nous
étions
dans
son
salon
et
il
me
prenait
allègrement
à
quatre
pattes
sur
son
divan.
Je
me
rappelle
me
voir
dans
son
miroir
qui
est
accroché
au
mur.
Il
voulait
me
faire
jouir,
encore
et
encore,
c'est
son
jeu
préféré.
Oui
vraiment,
il
ne
veut
que
ça,
chanceuse
que
je
suis.
Mais,
vous
savez
quoi?
Moi,
lorsqu'il
est
dans
cet
état
de
compétences
sexuelles,
il
me
donne
le
goût
intense
de
le
remettre
parfois
à
sa
place,
lui
prouver
que
je
suis
capable
de
contrer
ses
assauts,
qui
je
l'avoue,
me
rend
complètement
folle
de
plaisir.
Donc,
me
voilà
sur
le
bord
d'avoir
un
orgasme,
cela
fait
à
peine
quelques
minutes
que
sa
queue
me
pilonne
et
déjà
je
sens
la
jouissance
montée
en
moi,
la
chaleur
de
son
membre
dans
mes
entrailles
me
rend
faible.
On
dirait
que
dès
qu'il
me
pénètre,
je
perds
le
contrôle
de
tous
mes
moyens.
Je
suis
"Samson
qui
perd
sa
force
lorsque
Dalila
lui
coupe
les
cheveux".
Il
me
regardait
et
senti
que
j'étais
sur
le
bord
de
jouir,
il
continuait
son
rythme
de
croisière
bien
appliquée,
bien
concentré
sur
moi,
le
moindre
de
mes
gestes
et
de
mes
soupirs
étaient
scrutés
pour
l'aider
dans
sa
quête
du
"GOAL".
Ce
soir-là,
je
n'avais
pas
envie
de
lui
céder
la
victoire
aussi
facilement,
du
moins
pas
si
vite.
Moi,
qui
lui
avait
tellement
de
fois
affirmée
que
je
ne
jouissais
pas
de
cette
façon
et
que
cela
pouvait
prendre
une
éternité.
Lui
prouver
que
j'ai
tort!
Mais
vous
êtes
malade!
Alors
j'ai
cherché
un
moyen
d'éviter
que
cet
orgasme
menaçant
se
mette
à
exploser
tout
de
suite.
Oui,
je
sais,
je
suis
complètement
cinglé.
Combien
de
femmes
dirais,
mais
elle
est
folle!
Moi,
je
rêve
d'en
avoir
au
moins
juste
un
de
mon
copain
et
elle,
elle
fuit
l'orgasme!
Bon
bref,
j'ai
pensé
à
un
tas
de
choses
bizarres;
un
gros
barbu
à
la
craque
de
fesses
poilues
par
exemple,
une
plage
de
sable
blanc,
couché
de
soleil
inclus.
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Oh
non, merde!
Je me voyais
baiser sur
le sable.
Je me disais;
trouve autre
chose ma
belle. J'étais
mal barré,
vous ne
voulez pas
être
dans mon
cerveau
à
ce moment-là,
je vous
le promets.
Tout y est
passé,
vraiment,
même
des recettes
de cuisine
et malgré
ça
l'orgasme
ralentissait
oui, mais
revenait
en force.
Soudain,
je me mis
à
penser à
ma mère,
je la voyais
devant moi
debout me
regardant
avec un
air de déception.
Elle avait
l'air de
vouloir
me dire
ma fille;
je ne t'ai
pas éduqué
comme ça!
Tu n'as
pas honte?
Eh bien,
vous savez
quoi? Cela
a marché
à
ma grande
surprise
plus rien,
je ne sentais
plus rien.
Je ressentais
toujours
les coups
de sa verge
marteler
mon vagin
oui c'est
vrai, mais
les frissons
et les chatouillements
avait diminués,
mon orgasme
venait de
dire bye
bye.
Oui,
je sais,
rassurez-vous,
je me fais
soigner
pour ce
trouble,
ah ah ah.
Malheureusement,
cela n'a
pas duré
longtemps,
puisque
de va-et-vient
en va-et-vient
le plaisir
refit surface
et la jouissance
remonta
de plus
belle. J'avais
beau essayer
de refaire
apparaître
ma mère
non, elle
ne voulait
rien savoir
de me sortir
de ce pétrin
une deuxième
fois. Cela
en était
fait de
moi, j'étais
bel et bien
foutu. Un
dernier
grand coup
de gland
vint toucher
les parois
profondes
de mon vagin
et des milliers
de petites
étincelles
(comme lorsque
vous avez
un engourdissement
vous voyez!)
Eh bien,
moi, c'est
l'effet
que cela
me fait
lorsque
mon orgasme
débute
et qu'il
grossit
en devenant
de plus
en plus
sensible,
jusqu'à
exploser
entièrement
dans mon
vagin. À
ce moment
précis,
mon cerveau
se déconnecte
de mon corps
et je tombe
sans vie
sur le divan.
Victoire!
Il venait
encore une
fois de
gagner.

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